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Titre :	Mignon ; elle ne croyait pas
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :	Thomas, Ambroise ; Barbier, Jules ; Carré, Michel
Interprète(s) :	Cordier, Léon
Genre :	Opéra-comique
Fichier audio :
Photo(s) :
Support d'enregistrement :	Disque
Format :	25 cm aiguille (enregistrement acoustique)
Lieu d'enregistrement :	Paris, France
Marque de fabrique, label :	Zonophone international Company
Numéro de catalogue :	X-1232
Date de l'enregistrement :	1903 jan.-fév.
Instruments :	piano acc.
État :	Exc++
Vitesse (tours/minute) :	86,1
Matériel employé au transfert :	Garrard 401, SME 3012, pointe 2,3ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe ffrrpasse-bas 4kHz, Cedar X declick, decrackle
Date du transfert :	01-01-1970
Commentaires :	Texte du contenu ci-dessous. Pochette en patchwork
Texte du contenu :	Mignon ; elle ne croyait pas Création : Léon Achard (1866 à l'Opéra-Comique de Paris) - Paroles : Jules Barbier, Michel Carré - Musique : Ambroise Thomas Chapini : Elle ne croyait pas, dans sa candeur naïve, Que l'amour innocent qui dormait dans son cœur Dut se changer un jour en une ardeur plus vive Et troubler à jamais ses rêves de bonheur. Pour rendre à la fleur épuisée Sa fraîcheur, son éclat vermeil, Ô printemps, donne-lui ta goutte de rosée ! Ô mon cœur, donne-lui, donne-lui ton rayon de soleil ! ------------------------ Adolphe Maréchal, David Devriès, Léon Cordier : Elle ne croyait pas, dans sa candeur naïve, Que l'amour innocent qui dormait dans son cœur Dut se changer un jour en une ardeur plus vive Et troubler à jamais son rêve de bonheur. Pour rendre à la fleur épuisée Sa fraîcheur, son éclat vermeil, Ô printemps, donne-lui ta goutte de rosée ! Ô mon cœur, donne-lui, donne-lui ton rayon de soleil ! C'est en vain que j'attends un aveu de sa bouche, Je veux connaître en vain ses secrètes douleurs, Mon regard l'intimide et ma voix l'effarouche, Un mot trouble son âme et fait couler ses pleurs ! Pour rendre à la fleur épuisée Sa fraîcheur, son éclat vermeil, Ô printemps, donne-lui ta goutte de rosée ! Ô mon cœur, donne-lui, donne-lui ton rayon de soleil ! ----------------------------------- Albert Vaguet, Jules Gautier : Elle ne croyait pas, dans sa candeur naïve, Que l'amour innocent qui dormait dans son cœur Dut se changer un jour en une ardeur plus vive Et troubler à jamais son rêve de bonheur. Pour rendre à la fleur épuisée Sa fraîcheur, son éclat vermeil, Ô printemps, donne-lui ta goutte de rosée ! Ô mon cœur, donne-lui, donne-lui ton rayon de soleil ! Ô printemps, donne-lui ta goutte de rosée ! Ô mon cœur, donne-lui, donne-lui ton rayon de soleil !